Voici une histoire que j'ai commencé. Dans la section commentaire écrivez moi votre suite et je la rajouterais peut-être.
Karagan est un personnage créer pour les internautes. Faite lui faire un bout de chemin en m'écrivant vos pensées . Qui sait ce que la planète pourrait lui faire vivre.
Merci à tous ceux qui participent.
Karagan dans:
Trésors de la cité.
par serge marchand
-Personnage principal : Henrry Lerock
né à Val-d'Or le 16 août 1976 ,
se promène de monde irréel ,
devient Karagan
- Henrry Lerock: père de Henrry
( parait sur la photo )
racontais l'histoire de Karagan
- 7 hommes sur une photo
- Le gardien du cimetière :( revient vers la fin ,parait
sur la photo ,revient dans chaque livre des portes)
- Xzolya: celle qui l'a accueilli
- Lylâ Hilroys : soeur de xzolya
- Lucien Hilroys : père de Lylâ et Xzolya
- Les Kaptors :Ils viennent de
Abbziiaros , planète où se déroule l'histoire
- Shalpa :c'est le vêtement des habitants de Abbziiaros
- Les lipions :une bête horrible,au caractère féroce,
les griffes tel des lames de rasoirs,carnivore et
bien soigné par les Kaptors.
Vous pouvez inventer des personnages.
chapitre 1
Le père d'henrry monsieur Lerock , de son vivant , jouissait d'une réputation grâce à de nombreuses découvertes et de quelques pièces digne de trésors qu'il rapportait de ses voyages au bout du monde . Lors de son dernier souffle, avant l'envol vers l'autre monde , fit entendre qu' en réunissant la carte ,il découvrirait , et se fût ses dernières paroles avant l'incontournable défaite de la maladie qui avait gagnée son combat . L'homme venait de perdre malgré les efforts , près de trois années de lutte acharnée contre un monstre dévorant l'intérieur de l'impuissance humaine .
Malgré les année qui défilèrent, toujours convaincu qu'il se virais récompenser pour sa confiance envers son père et le fruit de son entêtement lui fleurirais, se n'ai qu'en se mémorisant des aises temps avec son père qu'il revois les contes de son enfance des histoires incroyable toujours aussi magique l'une de l'autre comme lui seul savais les raconter a chaque fois qu'il revenais , des paroles hautes,forte suivie de basse accompagner de sont et de cris effroyable a vous donner la chaire de poule, animais a chaque fois ces film imaginaire.
Un jour ou le beau temps étais bien caché derrière un décor froid d'automne , henrry profitais de la mauvaise température pour faire un peu de ménage dans se fouillis de boite et de souvenir, après en avoir refais quelque une il mis la main sur une petit enveloppe celle ci étais encore scellé , elle lui étais également adressé mais lui ne se souvient pas l'avoir déjà vue , curieux il l'ouvris, a l'intérieur si trouvais une lettre et retenue au centre une photo , pas trop sure de se que ces au premier coup d'oeil, il constat que celle ci étais bien signer au nom de Henrry Lerock plus que surpris henrry sortie de se fouillis pour lire cette lettre . Sur la photo paraissais sept hommes qui se ressemblais un plus jeune que les autre ce distinguais facilement et le nombre un sur le mure de pierre sombre comme si cette photo avais été prise dans une grotte ou une quelconque caverne.
Le mardi 15 août 1956
Fils
Je sais tu vas trouver sa drôle et crois moi que sa l'ais également.
Se que tu trouveras au bout de cette carte, ne possède point de mots pour s'expliquer.
Lorsque ton grand-père décéda j'ai pas voulu i retourner, jais donc percer un trou dans le monument tombale et y a enfouies un de ces morceau de cartes, regarde du coté droit dessous et tu la retrouveras.
Soi bien préparé, parfois les évènement nous dépasse, se qui t'attend ne peu se prédire.
N'ai pas peur de ton destin, souvient toi, lorsque tu étais enfant, de la façon donc tu rêvais des histoires que je te racontais.
Aujourd’hui ces a ton tour de vivre les tiennes.
Henrry Lerock
chapitre 1.1
Stupéfaits de cette lettre il demeuras saisi pendant plusieurs minutes aveuglé par se qu'il venais de lire, le mystère total, il ne savais plus quoi faire, voyant que du négatif de se qu'il venais de lire.
-- De plus si lui même ne voulais pas i retourner ces qu'il ni avais rien donc de spécial alors quel serais l'intérêt de vouloir faire tout se chemin pour rien. Se dit-il.
En regardant de nouveau la photo, il observas un détaille se qui paraissais étrangement a une outil.
D'un soupire il remis la photo et la lettre dans l'enveloppe puis la déposa sur la table et retourna a son fouillis ménage. Boite après boite il continua a classer le désordre de quelque année, mais il ne pouvais se concentrer a se qu’il effectuais puisque ce qu'il avais lue plutôt lui ensorcelais l'esprit.
-- Putin pourquoi une lettre qui est adressé a moi, soit écrite vingt ans avant que je vienne au monde, cela ne fait aucun sens. Non, sa peu sûrement qu'être du baratain ces impossible.
Personne ne peu savoir le futur vingt ans d'avance et encore moins savoir qu’il aurais un garçon vingt ans plus tard et qu’il le nommerais henrry non ces pas possible.
Abasourdi et chambranlé par se méli-mélo, il interrompus son ménage et se dirigea en direction d'une vielle corolla a la carrosserie plus que dépareillé, il démarra en marche arrière pour écrasé littéralement les vidanges au bord de l'entrer et se précipiter en trompe sur le chemin du cimetière .
De loin revenant d'une randonné a vélo Nancy la voisine d'Henrry pue que remarquer sa boite au lettre virevolter dans tous les sans, en regardant conduire son voisin comme elle ne la jamais vue au paravent, et en s'approchant de la maison elle constata qu'il n'avais pas pris le temps de fermer la porte derrière lui.
Elle crus bon de lui rendre se service et au moment de fermer, elle jette un oeil a l'intérieur et les boite éparpillé près de l'armoire a débarras fus assez pour lui donner l'envie de vérifier de plus près se fouillis. Le pied gauche fue le premier a franchir la porte, le droite suivie en pénétrant dans le priver de quelqu’un. Nancy regarda un peut partout en se tournant puis remarqua l’enveloppe, déposa la main dessus la tâtonnas du bout des doigts et reparti en fermant la porte.
--Mais, mais que ses t’il passé ! Il n'a pas l'habitude de partir sans fermer sa porte. Et encore mois éparpiller ses poubelles. Je me demande bien ce qu'il lui prend !
Au moment de reprendre son vélo elle décida de réunir tout les détritus qu'Henrry avait laissés derrière lui. Pour ensuite aller voir se qu'il reste de sa boîte a malle amocher. En ramassant les lettres éparpillés et fripé par la destruction de la boite au lettre , elle pus constater parmi les quelque compte reçu , celle de son employeur qu'elle a aussi tôt reconnu grâce au timbre en forme de dessin d'ADN qui représente limage de la compagnie .
A l'emploie de ceux ci depuis déjà cinq ans, l'occasion de recevoir ce tipe d'enveloppe savais présenté a mainte reprise, Nancy récupéra le tout qui lui apportais une mauvaise nouvelle.
Après avoir dépassé la vitesse permise et avoir pris quelque courbe un peut trop rapidement, graduelment apparaissaient, aligner fièrement un derrière l’autre, les arbres qui veillent sur ceux qui reposent paisiblement. Henrry stationna donc son auto devant les portes du cimetière. Un homme sur son tracteur a pelouse entretenais le devant de la muraille , hocha la tête et lui envoya un geste de la main , a peine répondant Henrry se dirigea en direction de son défunt grand père mais devant se vaste nombre de fleur et de pierre qui i son rajouter depuis les dernières années, il se trouva soudain confus ne sachant plus quel bord prendre, regarda dans tout les sens mais rien a faire les jambes ne répondais plus le vertige et la panique venais de s’emparer de lui, partout ou il regardais, une âmes se montrais et le corps des arbres bondé de ceux si emprisonner a l'intérieur de ses ventre centenaire, les cris gémissants de ceux qui voulaient se libérer, l'euphorie résonnait tel que d'immense tambour.
-- comment vous sentez vous, avez vous besoin d'une ambulance, par votre teint vous ne paraissez pas bien.
-- où je suis.
-- vous venez de vous effondrer, je vous ais vue fondre au sol au moment que je passais devant la barrière.
Je me suis précipiter pour voir si sa allais.
-- merci, savez vous ou je peux trouver l'endroit de Louis H Lerock.
-- désolé mon ami, malheureusement au nombre de gens qui repose ici ses très difficile de savoir tous ces noms,
Chaque semaine de nouveaux résidents arrive. Par contre si vous savez l'année qu'il fut enterré, la je pourrais peut-être vous aider. Au début des années quarante le cimetière se situais par la et en soixante dix huit le développement de se coin a droite par manque de place et dernièrement celui si.
-- A l'âge qu'il nous a quitté je me souciais pas vraiment ces noir pas mal, j'ai oublier quand au juste, sa dois être quelque par autour de quatre-vingt, quatre-vingt cinq.
-- Voyer vous le monument de la vierge, elle sépare les parties.
-- Je vous remercie de cette information messieurs.
Henrry fit quelque pas et de nouveaux il s'écroula dans le gravier recouvrant la terre.
-- Êtes vous certain que sa vas.
-- Au faite je n'aime pas cet endroit. La mort me dérange.
-- Embarquer avec moi je vais aller vous porter en car, sa vous éviteras de tomber.
-- J'ai toujours éprouvé un malaise lorsque je dois mettre le pied dans se genre d’emplacement.
-- oui, effectivement je vous avoues que cette endroit dégage un sentiment qui est des plus étrange, je travaille ici depuis plusieurs années cette odeur particulière est pareille jour après jour été comme hiver.
chapitre 1.2
Passager dans le golf car, il regardais les noms sur les monuments qui défile dans les rangées, se rassemblant tous les un au autres. Par contre une pièce de marbre un peu plus grosse se distinguais, le dessin d'un oeil regardant une planète étais graver et plus bas l'inscription L.H.Lerock de 1899 A 1983 Repose en paix.
Debout devant se qu'il cherchait il ne savais pas vraiment se qu’il étais sur le point de découvrir et analysa la façon qui pouvais lui permettre l'accès dessous se poids impressionnant, le plus évidant étais de la coucher sur le coter.
Au moment ou il allais appuyer la pierre pour la renverser afin de pouvoir regarder dessous, le gardien l'empêcha en lui demandant si il savais se qu'il faisait mais Henrry n'écouta point puis avec les mains scruta les lettres de Lerock rien ne se passère et soudainement le O s'enfonça par lui même dans le granite ainsi que le E mais le K tourna de quatre vingt dix degré et un click bruyant se fut facilement entendre. Le monument se mit a vibrer et le son de pierres frottant l'une sur l'autre séparas celui si en deux morceaux, un trou apparue dessous le côté qui n'avais pas bougé, c'étais le droit. Henrry se mis la main dans le troue en essayant de sentir quelque chose, il s'étirais le plus qu'il le pouvais mais rien ne lui permettais seulement de si accrocher un oncle, il tâtais du bout des doigts chaque petit coin dessous mais sans trouver vraiment quoi que se sois.
-- Pour quel raison vouliez vous m'empêcher de la renverser ou de la toucher, vous saviez se qu'il étais pour arriver n'esse pas.
-- Dite moi ! Cette homme que représente t'il pour vous.
-- Ces mon grand père, le père de mon père.
-- Et que chercher vous de cette façon, les monuments qui se séparent en deux ne pleuvent pas par ici.
-- Jais trouvé une lettre pas ouverte qui m'étais adressé et celle si sont foutu ment étrange.
Camouflé sous se chapeau de paille ébrèche et une longue moustache, l'homme ne paraissais pas surpris de voir une de ces pierres s'ouvrir de cette façon. Il restai la, a regarder Henrry observer un peu partout autour du monument sans savoir vraiment ce qu'il cherchais. A droite sous la pierre se dit t'il, puis il se remis a genoux et repoussa la main affolé dans le trou.
-- Vous savez mon garçon, il suffit de tourner le H de cent quatre vingt degrés.
-- Pourquoi demeurez vous la, que savez vous de tout sa !
-- Pardonnez moi, retourner donc de ou vous venez, rien de bien spécial se trouve ici.
-- Attendez, excuser moi, dit moi se que vous savez.
-- Je ne souhaitais pas voir ce jour, allez tourner le H.
Alors, Henrry fit donc se que l'homme lui dit, encrusta ses doigts dans les parallèles du H, appuya et tourna, il ne croyais pas se qu'il lui arrivais. La pierre prenait une tout autre dimension, celle d'une gigantesque muraille de marbre qui rejoignait le ciel.
-- Maintenant garçon, allons a l’intérieur.
Henrry, figé par se qu'il vivais, regarda le gardien qui se dirige ver lui. L'énorme taille du golf car, ressortais de cette foret d'herbe géant qui se tenait devant lui. Se qu'il venais de voir le surpassais in considérablement.
-- Aller venez on aura pas toute la journée mon ami.
Puis l’herbe referma derrière chaque pas qui les enfonçait dans la jungle. L'homme marchais rapidement comme si il connaissait déjà le chemin ver le trou. Il courais presque, les fouettes se redressais un après l'autre et Henrry se dépêchais a suivre l’inconnu.
-- Tourne ici, dissa t'il brusquement après savoir arrêter promptement. Chut, t, t, t, t ne bouge plus, ici baisse toi et cache toi, dis rien !
-- Quesser qui a !
-- Dis rien jais dis. Regarde, tu ne veut pas qu'il nous vois, cache toi, dis plus rien.
Le gardien pointa de la main le feuillé qui se tenais a quelque mètre d'eux, et doucement en faisant le moins de mouvement visible possible ils bougèrent afin de sen rapprocher, regardant attentivement chaque pas qu'ils fessèrent
Pour ne pas alerter leur présence à l'oiseau affamé qui se tenais devant eux.
Chaque fois que le monstre enfonçais son bec dans le sol, il en ressortais toujours emprisonner un immense vert qui se tortillai contre la pression de son bec.
-- Ces bon, ici il devrais pas nous voir¸ on vas rester sans trop bouger jusqu a se qu'il sen aille.
-- Mais peut tu bien me dire se qui se passe, je peux aussi bien servir de bouffe a un oiseau et ça te parais normal.
-- Si tu parle aussi fort ces vrai qu'ont vas i passer et je te rappel que j'ai voulu t en empêcher.
-- Je ne me serais jamais attendu à sa, ça sort du réel.
-- Non, on, on ces bien réel crois moi. L’aventure fait que commencer.
Sans prévenir la moitié de l'amas de feuilles s'effondra et les griffes du monstre déchiras le toit de leur abris, se voyant a découvert, le début d'une course s'engagea pour échapper à une mort certaine. L'oiseau venait de prendre en chasse henrry qui prenais la fuite aussi vite qu'il pouvait, l’herbe tombait sous les coupes d'un bec affilé qui effleurais ses proies.
-- Hey, hey! Regarde un peut par ici touffe de plume.
Soudainement il s'arrêta et regarda le gardien qui lui fessai signe, puis se retourna pour reprendre son festin mais cela avais attirer suffisamment l'attention afin qu'Henrry puise prendre de l'avance sur se qui voulais le dévorer.
Le trou lui apparue, et henrry se précipitaire sans se soucier de la profondeur il sauta dans le vide le plus loin qu'il avait pus, se trouvant planant d'un ravin pour retomber a l'intérieur d'un cratère . A quelque pieds de lui au dessus de sa tête le bec agité tentais de s'approfondir en se taillant en chemin puise qu'il se trouvais bloqué par une ouverture trop petite.
Voyant bien que l'oiseau ne pouvait aller plus loin, il s'arrêta afin de reprendre son souffle. Les mains sur les genoux il regardais autour et leva les yeux dessous la pierre tombale qui se dressaient comme une gratte ciel, la gravure d'un oeil tel que celui sur l'autre face du monument pointait ver le sol.
Henrry sauta pour toucher l'oeil mais la hauteur ne lui permettais pas de se lever assez haut pour le toucher, sans se décourager il regardais partout afin de trouver un objet qui pourrais lui permettre de rejoindre le plafond mais il a vite remarqué que rien autour ne lui servirais, alors il se retourna ver l'oiseau qui n'avais pas abandonner son repas.
-- Ta toujours faim gourmand ! Essais de te rendre ici connar !
-- A mène toi, on vas régler sa, de la vrais façon.
Cria henrry au monstre qui se rapprochait de plus en plus, aveugler par les gestes des bras qui alimentait sa rage. Des morceau de terre s'arrachait de partout et un tremblement se ressentais lorsque l'un d'eux heurtais le sol, ces se qu'il souhaitais, avoir quelques pièces assez grosse qui lui permettrais de monter afin d'être plus haut et de joindre l’oeil. Le mastodonte parvenait à s'enfoncer d'avantage, il arrivait presque à rejoindre sa proie, de violent coup de tête
Le faisais avancer d’avantage.
Soudain le son sourd de pierre frottant une sur l'autre revenais et l'oiseau se mis a piasser puis les yeux de celui ci gonflèrent horriblement et explosère laissant place a la pierre qui se refermais. Le gardien venais d'activer se qui renversais la séparation du monument tombal. Dans l'obscurité l'énorme bec menassent pendais par les nerfs et la peau écrasé, giclai du plafond. Emprisonner dans une noirceur incroyable, il se trouvais piégé ne pouvant plus voir devant lui, s'accroupi et demeura sans bouger se demandant bien comment sortir.
-- Garçon !
L'homme se tenais a genoux au côté de la pierre et en récupérant les pattes du pic bois puis lui dis.
-- Je ne pourras pas l'ouvrir, pour te sortir de la tu devras faire le tour afin de te libérer je ni peu rien, la machine est ainsi, enfouis tu trouvera une clé, ne la perd surtout pas elle sera ton billet de passage pour chacun d'eux, ces irréversible tu devra leurs faire face, quand tu reviendras je serais pas loin,
-- woo hohoho que ces sa, les histoire de clé. Et faire le tour,
Henrry croyais qu'il se faisais entendre puisqu'il entendais se que l'homme au chapeau lui disais mais sa minuscule taille développais pas asser de son pour se faire comprendre, il mis la main dans la poche et ressorti parmi une poignée de change un paquet d'allumette ainsi qu'un relever de compte de guichet chiffonné contre quelque billet de papier tombèrent de la main débordante.
-- Bon voyage garçon.
Puis, comme il étais arrivé, repartie mystérieusement avec son golf car. Henrry, tentais d'allumer une des allumettes imbibé de sueur, le peu de flamme qui se dégageais lui permit de récupérer l'argent et dans mettre le feu se servant de poils et de plumes pour alimenter sa lumière, il se pressa a brasser la terre avec ses pieds, voyant qu'il n'arriverais pas a creuser asser creux, il s'empara d'une narine qui avais éclaté et l'enfonça dans le sol le plus loin qu'il pouvait, coup après coup la terre volais et s'accumulait autour des parois . La boucane suffocante des plumes brûllantent tourbillonne rendent l'air de moins en moins respirable et commençaire a avoir raison de lui, axfixier par la fumé, il sombra le corps devant, puis le poids de celui si enfonça la narine de nouveau appuyant sur se qu'il cherchais. Une lumière bleue gisant de l'oeil encerclant henrry puis disparue laissant sur place que la fumé et la pelle improvisé.
chapitre 1.3
Toussant la boucane inhalé la vue brouiller par un dur réveil, accompagné d'une douleur insoutenable au cerveau, il vomissais en position fétal la douleur du transport dans ce nouveau monde. La chaleur torride d'un soleil de plomb cuisais sa peau puis constata aussi tôt qu'il n'étais plus dessous la pierre tombal mais bien entrain de rôtir par les rayons de la boule de feux. A une dizaines de m'êtres un abris laissais de l'ombre, Henrry se mis alors a marcher en direction afin de se rafraîchir un peu, a l'abris de la chaleur, un lutrin se tenais au centre et la poussière recouvrai le livre qu'il portais . Il soufflas donc pour balayer celle ci, les bras ouvert le vieux livre dormais dévoilant sur ses ailes quelques secrets. En observant les pages que le bouquin montrais il reconnu aussi tôt le gardien avec son chapeau de pailles, sous le sombre portrais, étais écris Abbziiaros Epsilon Eridani.
Henrry s'appuya les coudes chaque côté du lutrin les mains dans le visage et les doigts se mêlèrent au cheveux, restais la, respirant profondément sachant bien que sa fessais que commencer.
-- Ne demeurer pas au dessus, on vous exécuterait si on vous voie l'endommager avec votre transpiration, et depuis trois semaines personne n'a été brûlé au village, ils se feraient un plaisir d'inventer des accusations afin d'assoiffer leur besoin de sang.
Il ne l'avait pas vue arriver, cette femme apparaissant de nul par.
-- De ou arrivez vous je ne vous avais pas remarqué, et les exécutions sont courante par ici.
-- Durant la période estival, chaque soir un paÿssant meurt.
-- Et que devraige faire ou pas faire pour pas finir comme sa.
-- La meilleur chose que vous pourriez faire serais de passer inaperçue, rester le moins visible possible et partez vite tardez pas si ils ne vous voient pas vous aurez des chances de partir vivant.
-- Vous croyez qu'on me remarqueras pas, notre habillement es très différent aussi bien leur dirent toute suite.
-- Suivez moi, par ici.
-- Attendez ! L'homme avais parler d'une clé et la lettre d'une carte, je dois trouver se que sais avant d'aller plus loin.
Il retourna a l'endroits ou il s'étai réveiller puis regardais partout, frottent le pied au sol afin de relever se qui pourrais être sa clé, tourna sur lui même puis de loin observas le lutrin, celui si munie d'une imposante armure de bois disparue sous les yeux d'Henrry laissant miroiter une pièce jusqu au sol.
-- Dépêcher, lui dis t’elle.
-- Ou m'amenez vous, j'ais pas la clé.
-- Prend cette pièce et garde la, on dois partir, tu es ici depuis trop longtemps déjà, crois moi. En passant ici, on ne devrait pas te voir.
En direction face aux forces du soleil, la femme marcha quelques pas et s'enfonça pas a pas dans se désert.
-- Attend ! Attendez ! Vous n’irez pas loin avec cette chaleur, sans eau vous servirez de nourriture aux vautours, si on attend la nuit, la chaleur baisera et nous pourrons marcher plus loin.
-- Que racontez vous la, ça existe seulement pour faire peur au enfant, je sais très bien que la nuit existe pas, mes parent me racontais toujours que si le ciel noircissait, c'étais les dieux qui punissaient les enfants du peuple, dans le fond, je n'avais jamais crus en leur histoire .
-- Vous dite que la nuit exsiste pas, les vêtement que vous portez cache pas vraiment grand chose, les paysan se font brûler pour festoyer mais dites moi donc ou je suis, quessque j'ai faite !
-- Écoutez, je suis bien capable de voir que votre déguisement est bien différent mais cesser d'argumenter et suivez moi, vous êtes sur Abbzaiiros ici et les KAPTORS règne sur notre peuple, tuer fais parti de leur jeux favoris, alors grouillez vous ! On vas passer par ici a l'ombre des mures de se fossé nous allons être protégé du soleil et vous aurez moins de chance de vous faire remarquer.
Les mures bricquelé de sable s'étendais sur une distance a pertes de vue, le couloir se refermais sur lui même tellement il étais long. Suivant la femme, Henrry mis doucement la pièce dans sa poche afin de pouvoir la scruter attentivement un peu plus tard. Il avançai ver l'inconnu croyant c'elle qui lui ouvrais la route.
-- Et vous de ou venez vous ! Lui demanda t'elle en marchant sur se vieux champ de brick, qui se précède témoignant l'âge ancienne de sa construction.
-- Je sais pus vraiment les choses on bien changer depuis que je me suis levé se matin. Je crois que je me nomme Henrry du moins, ce que jen suis sur avant l'arrivé de se chambardement, et dite raconte moi se que vous savez de se vieux livre, sa pourrais peut-être m’éclaisir.
-- Je suis Xziolya, je ne sais pas quoi vous souhaitez mais tenez vous loin de se livre les Kaptors surveille beaucoup cette endroit, se qui importe pour le moment serais de vous trouver des vêtements convenable afin de pas vous faire reconnaître. Ma soeur devrais avoir de quoi, son mari a participé a la grande manifestation et ils l'on accuser d`avoir été le responsable de se désordre au village, il en est jamais revenu, les paysan voulaient montrer leurs mécontentement. Les Kaptors on donc accusé le groupe de manifestent et les firent prisonnier afin de les jeté au jeux. Ils aiment regarder les paysans se faire dévorer par les Lipions. Cette fois la, le nombre de Lipions n'avaient pas été suffisant pour gagner la parti aussi facilement qu'ils le faisaient au paravent. Devant ces monstre affamés les paysans étaient beaucoup plus nombreux et une lutte violente ensanglanté commençaire au centre de l’arène, se jour la, plusieurs d'entre nous avons perdu des proches et depuis ils on brûlé aucun d'entre nous.
-- Les Kaptors combien son t’ils.
-- Nul connais exactement cet réponse mais ils son assez nombreux pour contrôler notre peuples.
-- Alors les Kaptors mène le peuple, en les exécutants. Avez vous bien des surprise comme sa, et ses gars la, sur quoi se basse ton afin de les distinguer. Laiser moi deviner, ils portent des souliers propre un beau veston un chapeau et se promènent en limousine, a oui j'allais oublier, toujours accompagné de garde du corps bien sur.
-- Non, tu vas les reconnaître, ils sont beaucoup différents. Tournons ici, nous i somme presque, tu vois les paniers, ces la derrières ces rochés a l'intérieur de cet grotte qu'elle habit, je suis sur qui lui reste un shalpa.
A quelques pas des paniers, Xzolya les regarda recouvert de poussière, et les petites montagne de sable formés devant les mures puis avancèrent près des rochés découvrant ces êtres ignobles qui s'emparaient de Lylâ, elle étais accusé d'être la femme d'un manifestent. Leur charrette étais remplie de femme, elles se trouvaient tous écrasé une sur l'autres tellement il en avais. Ceux si par peur d'être exécuté se parlais presque pas elles savaient bien qu'elles allaient servir au jeu paralysé de leur sort.
--Ils sont ici, faut pas êtres vue ils vont vouloir nous tuer, allons se cacher, les paniers, allons se dissimuler sous les vêtement nous pourrons peut-être passé inaperçu.
-- Je souhaite bien que tu aies raison, à voir leur tête je préfère rester loin d’eux.
Les Kaptors mettaient la malheureuse parmi les autres femmes et firent exploser la grotte avant de se retourner capturer une autre veuve. Ils préparent les prochain jeux a fin de nourrir leur monstre carnivores. Caché sous cet amas de vêtement elle les regardais partir avec la seul famille qui lui restais, sa soeur étais la écrasé contre les barreaux d'une cage débordante de viande.
-- Ou crois tu qu'ils les apporte. Demande Henrry.
-- Je ne sais pas, probable qu'ils vont être jeté au jeu.
-- Allons voir se qui reste de bon dans la grotte, crois tu nous pouvons faire de quoi pour aider ta soeur.
-- Ils sont vraiment nombreux ça serais un suicide de s'approcher de leur forteresse.
-- Je sais bien mais nous pouvons toute même pas lui laisser subir cette triste fin, être déchiqueté ce n'es pas une façon de mourir. Trouvons se que l'on cherche et apporte moi chez ces monstrueux Kaptors.
-- Dans tout ces débris il ne seras pas facile dans trouver un, tout se qu'il reste ces de la poussière et une montagne de rock. Mais attend, nous sommes caché dans des vêtements probablement qu'il reste quelque chose de bon a travers tout sa. Pour se rendre a eux plusieurs d'entre nous vont mourir, vois tu, ces murs sont comme des labyrinthes en empruntant le bon chemin ça te mèneras au prisonnière, par contre si tu te trompe et que tu mette le pied sur une des pierres marqué, certain mures pivoterons afin de laisser ces bêtes s'échapper dans le village. Les lipions dévorent tous sur leur passage, leur griffes sont si tranchante que même les portes en bois ne peuvent résister, ils sèment la terreur dans notre peuple nul ose les affronter puisque tenir tête a ces monstres moitié phacochère et crétacé, ces un combat déjà perdu. Nous avons tous perdu des proches assassinés par ces monstres ils control le peuple de cet façon en prenant votre vie.
-- Ces gorille représente le mal comme je peu voir, et le peuple sert de viandes. Explique moi se que tu sais de se livre et de la clef que je dois avoir pour retourner chez moi parseque je veux pas traîner dans se monde et servir de bouffe ou être brûlé, mon père me racontais des histoires quand j'étais petit et c'étais toujours comme des contes incroyable et la ici ces pas ma place.
-- Je n'ais aucune idée de se que tu parle, la seul chose que je sais sur ce livre ces qu'ils le vénèrent comme un dieu et que tu viennes d'un autre monde sa m'ais complètement inégal. Exsiste t'il vraiment un monde meilleur que celui si je crois pas a ces foutaisse pour moi ce n'es que de fausse idée que nous nous faisson afin de croire a autre chose, moi jais grandi ici et ma famille aussi a toujours demeurer avec se peuple . Les paysans s'aidait tous afin d'amiliorer notre mode de vie . Puis un jour quand j'étais encore qu'une gamine les Kaptors son arriver et a cet époque il n'ont épargné personne, ils détruisais tous ce qui se dressais devant eux et semaient la terreur dans le foyer des paysans, jais vue mes parents et mes frère brûler sur le bûché, ils ont prient ce que j'avais de plus cher, je n'oublierais jamais se qu'ils ont fais, j'étais la seule survivante de ma famille et ces bien par se que je m'avais cachée. Ces la que les Hilroys
Mon accepté dans leur famille ils mon donné un foyer et de l'amour ces comme sa que Lylâ est devenue ma soeur.
-- Tu as vécu des expériences dromatissante pour une jeune fille.
-- Allons voir Lucien, dans son jeune âge il as participé a la nouvelle construction du château et aujourd’hui il n'est plus très jeune certaine chose lui échappe mais peut-être pourra t'il nous dire quelque chose sur le moyen de s'approcher de la forteresse sen libérer les lipions.
chapitre 1.4
Vêtu d'un shalpa hennry et Xzolya prirent le chemin en direction de messieurs Hilroys afin de pouvoir en soutirer quelques renseignements sur le château. Celui si rongé par la vieillesse étais devenu aveugle et sourd, il ne parlait presque pas, pour pouvoir entendre se qu'il disais une oreille attentive devait être mis a disposition afin d'écouter le moindre son qui sortais de sa bouche. Pour lui la vie étais rendu noir et sen mouvement car il passais ses journées assis dans une chaise près d'une fenêtre qui lui permettais de sentir les brises d'air fraîche et chaude du désert.
-- Nous i voici, Bonjour maman es que papa est couché,
-- Bonjour madame Hilroys, répondit Henrry.
-- Oups escuse moi maman je te présente Henrry, je l'ai rencontré près de chez Lylâ.
-- Bonjours messieurs Henrry, je ne vous ais jamais vue par ici de ou venez vous.
-- Ils ont prient Lylâ maman.
-- Mon dieu la pauvre pas notre fille.
-- Maman nous devons parler a papa a fin de savoir comment accéder au château.
-- Je t'interdis de t'approcher de cette endroit, tu sais bien que si ils te surprennent a tenter quoi que se soi tu finira a même place que Lylâ. Tu mas bien compris, ton père es près de la fenêtre comme toujours.
Xzolya et Henrry entra a l'intérieur, l'homme étais la debout devant sa chaise et regarda en leur direction puis se mit a avancer ver eux sen se heurter a aucun obstacle qui se trouvais devant lui.
-- Tu en a mit du temps avant de revenir dis t'il en regardant Henrry. Je ne croyais pas te revoir avant de mourir.
Henrry étais surpris que celui si lui parle comme si il l'avais toujours connu, la façon qu'il lui tendis la main le surpris d'avantage puisque malgré son handicap il alla se poser la main sur son épaule sans passer dans le vide.
-- Papa esse que tu le connais.
-- Xzolya l'homme que tu nous apporte vas nous délivrer des Kaptors. Il est celui que l'on nome Karagan.
-- Pardonnez moi monsieur mais je suis Henrry et non se Kara quelque chose.
-- Oui jeune homme tu es belle et bien Karagan, je peu te reconnaître et entendre se que tu dis alors que je n'entend personne d'autre, la prédiction du manuscrit avoue la vérité. Tu es le sauveur de notre peuple celui qui extermineras les monstres qui règne.
-- Mais de quoi parle tu papa. Pardonne moi henrry mais je sais pas se qu'il lui prend, ces toujours très difficile de converser avec, et la sa n'a aucune importance on dirais qu'il comprend.
-- Xzolya pourquoi as tu été l'accueillir, tu sais très bien qu'il vos mieux pas aller a cet endroit, ces le manuscrit qui ta apporté près de lui. Nous t'attendons depuis plusieurs années. Qu'a tu fais de l'autre coté qui t'a retenus aussi longtemps, lorsque vous êtes partis ces bêtes son arrivées et on envahis Abbziiaros. Le chaos ces installé et la survie dévire une menace, les paysans craignent tous de perdre la vie il savent, ce nais que le temps qui prolonge leur jour.
-- Vous me dite que je suis venus dans ce monde au par avant et maintenant sauver votre peuple est mon devoir, je crois que je ne saisi pas toute, pouvez vous m'aider quelqu'un, dite moi se que je ne sais pas pour l'inse temp. J’aimerais savoir ce que jais manquer.
-- Karagan, ces se que vous êtes dite vous bien sa garçon, pas la peine de chercher a vous en échapper ces vous et vous en pouvez rien, ces dans la peau. Affronter nos ennemis es votre destin, votre destiner.
-- C'es incroyable se que tu peut inventer papa mais j'avoues que tu me surprend cet fois ci.
--Lylâ seras dévorer au prochain jeu si vous admettez pas qui vous êtes.
Les trois se regardais un et l'autre sens oser parler, boucherie par les paroles, le moindre bruit s'interrompu le tic-tac du temps venait de rompre, puis l'homme sage regagna sa chaise se heurtant a ce qui se tenais devant. Xzolya accompagna son père adoptif afin qu'il se rassois au près de la fenêtre, a se moment une hombre recouvris la demeure des Hilroys un énorme déplacement d'air souleva le sable, accompagné par le cris géant du ptérozore, un reptile volant d'une vient aine de mètre en quête de nourriture son coassement résonnait les ténèbres, le grincement de dents se scionnant entre eux laissait dégouliner d'immenses traînées de bave.
Mayounis la mère de Xzolya recouvrais sa bouge de sa main et de l'autre pointa le plafond tout en faisant signe de se cacher, elle bougeais très peu ils devais rester hors de vue du ptérozore. Il se tenais autour volant en rond au dessus d'eux a l'affût du moindre mouvement qui lui indiquerais présence de vie, puis d'une plongé et venu arracher le linge étendu par Mayounis car l'air déplacé battais le linge qui séchais, lorsque le claquement des cordes étiré raisonna, Xzolya ne pu s'empêcher de laisser passer un crie de frayeur, Celui si fut assé pour alerter le ptérozore qui employais ses tactiques de chasse, elle venais de dévoiler leur présence, ces alors qu'il récidiva de nouveau avec une chute vertigineuse se proche tant les gigantesques pieds devant broyant le toit de leur maison, les rare bouts de bois soigneusement choisi s'éparpillais autour .
-- Venez vites! Restons pas ici murmura Mayounis ce précipitant sous la table vite.
A travers ces débris Henrry s'encouru sur Xzolya et sur son épaule supporta le vielle homme afin de se mette a l'abris
Tandis que Mayounis tentais d'ouvrir la trappe.
-- ouvre, ouvre, ouvre, dit elle
-- en même temp. Maman. Nous l'avons presque
Fortement appuyer sur les pattes de table, elles poussaient de leurs pieds la poignée afin d'ouvrir la trappe. Elle allai leurs donner la chance de s'échapper des griffes du ptérozore. Le vieux sur une épaule Henrry évita les débris qui retombaient et se rapprocha de la table, voyant bien apparaître les escaliers qui pénètrent le sol.
-- Allez, aller, allez, il revient ! Puis Henrry se pencha sous la table suivant Mayounis et Xzolya, évitent de peux le ptérozore qui écrasa la table les effleurant de près et ils s'enfonçaient dans le tunnel échappant a la catastrophe.
-- Vous voyez le manuscrit ne ment pas la vérité est sa seul parole.
-- Ce manuscrit es ce le livre du lutrin d'ou je suis arrivé. Le dieu de ces Kaptors. Que savez vous de se manuscrits qui me concerne.
-- Avant que les Kaptors envahisse notre peuple, dans le but de se protéger d'éventuel attaque le roy. Et ses sorciers se sont réunis afin de créer une oeuvre qui aurais le pouvoir d'avouer l'avenir, de projeter la vérité du futur a celui ou c'elle qui le lirais, ils devirent l'installer en permanence a l'endroit ou l'énergie de la lumière imbiberais la moindre port des particule de la page qui dévoilerais l'avenir,
-- Oui ok es il ont choisi de l'installer a cet endroit mais ça ne me concerne pas vraiment en quoi cela me regarde t'il.
-- Un jour j'ai eu la chance de regarder quelques prophétie j'étais encore qu'un jeune a l'époque mais se que j'avais appris cet fois la ma amener a construire le tunnel qui viens de nous sauver la vie. Je me rappel très bien j'avais pu i lire qu'un jour après un long règne des ennemis. Un homme chevaucherait le dragon après l'avoir rencontré.
-- ces avoues de jouer messieurs Henrry dit Mayounis.
-- Ne vas pas la ces du suicide le ptérozore te dévora.
-- Tu es Karagan que le sage dis, il t’appartiens tu vois pas qu'il attend que toi.
Il regardais a quelque mètre le talon de la bête qui recouvrais presque en totalité l'ouverture du tunnel, la stature imposante de l'animal avais presque tous détruis se qui appartenais aux Hilroys. Henrry toucha le dessous du talon et se dépêcha de se tasser de dans les marches. L'animal se tassa et d'un claquement de bec fut entendre un grincement torride puis s'approcha la tête près du trou un l'oeil immense apparus au dessus de la trappe, les cris de terreur qu'il lançait au par avant avais changé en petit ronronnement affectueux. Pas trop sur de lui Henrry étais craintif de ce qu'il voyais mais il devais faire quelques chose alors il s'approcha de nouveau voyant bien l'oeil qui le regarde doucement il avança peu a peu, observant son reflet miroiter dans l'oeil retenu par une peau boursouflé en cuire robuste.
-- Crois tu que j'vas me jeter dans ta gueule ! Vas donc faire un tour, fous nous la paix. Dis t'il au ptérozore.
Celui si le regarda une dernier fois, remonta la tête et d'une épouvantable pousser d'énergie il se propulsa en l'air et reparti laissant virevolter derrière lui quelques débris. La taille de ces ailes étais immenses quelque coup suffit a le faire disparaître loin de la demeure des Hiltoys.
-- Maintenant qu'il es parti remmenez moi a ma chaise.
--il vient de partir papa attendons encore un peu.
-- Il reviendra lorsque la lumière disparaîtrera derrière la grande tour du château, maintenant faite moi sortir d’ici.
Il voulais rejoindre sa chaise puise que au control de celle si il avais une vue magnifique sur les quatre tours. De loin il observait a chaque jours le même décors, quatre tours délimitent un carré, une d'ente elle se dresse beaucoup plus fortement devant les forces du désert, l’homme aveugle regardais se jour de puis longtemps.
-- Donnez moi votre main Xzolya je vais vous aider a sortir, mettez bien le pied sur la marche et, oui bravos !! . Allez maintenant ces a votre tour Mayounis, attention et voila.
-- Partez leur dis t'elle, les kaptors son la fuillés par le tunnel.
chapitre 1.5
Henrry n'hésita pas à prendre de nouveau l'homme sur son dos et de prendre la fuite laissant derrière eux mayounis et xzolya en prise avec les Kaptors, ils les furent donc prisonnière et partirent dans le tunnel à la chasse aux fugitifs. Du plus vite qu'il le pouvais, ne sachant ou aller il essayais de prendre de l'avance entre ces murs interminable d'un couloir de briques et soudain la fin du tunnel apparut, il avais que le vide, le rebord d'une étroite falaise qui rejoignais le sol tel un précipice. Ils devaient maintenant les affronter puis se qu'ils se trouvaient coincés face a la mort dans un dilemme sen aucune porte de sorti. L'homme sorti une courte tige de bois et la mire dans sa bouche pour en pousser un sifflement aigus d'une dizaine de seconde une écho amplifié ressorti de cette résonance ce faisant entendre de très loin et de l'autre coté les Kaptors qui se rapproche près a balancer leur filets qui les capturerais puis le vieux sage sauta afin de se pousser dans le vide emportent Karagan avec lui, ils tombaient en chute libre ver le bas de la falaise lorsque le ptérozore apparut pour les accueillir rebondissant dans les ailes gonflés par la pression d'un monstre volant , ils cherchèrent une place ou s'agripper mais ou ils se trouvent sur l'aile il a que de la peau et il glissent s'accrochant au dernier muscle qui termine l'aile, battent au bout des bras ils ne purent tenir longtemps et sen prévenir le ptérozore fit une vrille qui les furent basculer d'un aile a l'autre pour terminer leur turbulences en première place , celle derrière le cou, une touffe poilu beaucoup plus confortable, ils se ternirent et planèrent chevauchant l'animal .
-- Maman j'ai peur, crois tu qu'on vas rejoindre Lylâ ou ils vont nous séparer.
-- Prie, afin d'être épargné des griffes maléfiques, que les dieux nous préparent une place notre heur approche !
-- Je suis sérieuse maman nous devons faire quelques chose.
-- Crois tu que je ne le suis pas restons calme avant d'agir.
Prisonnières dans le chariot don elles fessaient place, elles s'éloignaient abandonnant leur refuge saccagé par les évènement Mayounis et Xzolya constataient l'ampleur du dévaste causé par le ptérozore, une parti du toi étais disparu et un mur avais subit autant de dommage, dans cet cage elles voyaient la troupe d'envahisseur réunis croyant bien que Henrry et Lucien furent capturés. Sen surveillance les biens qui leurs son chers allais être pié par les passent qui visiterons ces ruines. Le festin d'un peuple pauvre qui hésiteras pas a garder se qui leur tombera sous la main.
-- A quoi bon toute ces choses, si nous sommes pour mourir bientôt.
-- Je crois que tu sous estimes ton père, il es âgé et malade mais, ais confiance en lui, il m'a raconté beaucoup de choses depuis que nous sommes marier et a plusieurs reprises il a mentionné le non de se Karagan je crois que si maintenant il en parle, c'est qu’il avais vue la fin atroce et se qu'il nous arriverais alors il préférais garder sa pour lui.
-- Tu crois qu'il aurais vécu avec sa et qu'il n'aurai tenté quoi que se soit pour changer les choses.
-- Parfois pour éviter de blaiser ceux que l'on aime, il vaut mieux rien dire qu'avouer la vérité et ces peut-être se qu'il a donc fais.
Chaque tours de roue laissé de la charrette les éloigna jusqu'a effacer l'image d'une maison détruite, leur vie, l'endroit ou leur présence aura marqué Abbziiaros d'une autres cicatrices. Se faisant braser en direction de la forteresse elles observaient le regards des gents tremblant de terreur devant ces monstres cherchant qu'a grossir leur cueillette de viande a lipion, tout en se rapprochant des mures de la forteresse. Les tours se ressemblais une et l'autre les briques parfaitement cordés se dressaient fièrement ver la lumière puis l'énorme porte s'ouvrie permettent au monstre de rejoindre les leurres. L'intérieur de ses mures cachait le plaisir de la peur, un peu partout dans la jungle de monstre
des rires éclatais, les bruit de festivité interminable qu'ils créaient entre eux témoignais de leur bestialité, tous entassés un contre les autres enchérissaient l'arriver des nouvelle esclaves, elles défilaient devant eux prisonnière de leur carriole, et ils en salivaient tellement qu'il étais près a se battre entre eux afin d'avoir les plus belles, leurs enchères débuta avant même qu'elles en soient débarqué puis au centre de se rassemblement la charrette s'arrêtas près d'une autre carriole et un d'entre eux venus ouvrir la porte les forçant a débarquer et se ranger derrière les autres esclaves descendant de la carriole .
-- Regarde maman ces Lylâ ! Dis t'elle Xzolya en chuchotant, Lylâ, Lylâ.
-- Xzolya, maman, ils vous ont eu vous aussi, je suis désolé de vous avoir impliqué la de dans, je voulais pas qui'il participe a cet manifestation.
-- Ne prend pas le blâme de ce qui nous arrive ma fille, quoi qu'il se passe oubliez pas que je vous aime.
-- Quont'il faite de papa.
-- Je ne sais pas Lylâ nous avons été attaqué par un ptérozore et lorsque nous sommes ressortie de labris que papa a fait. Ces monstre étais la, et papa a pris la fuite mais je crois pas qu'il eu le temp. D’aller bien loin au nombre qu'ils sont, ils ont sen doute pas eu de chance.
-- Regardez les filles, il nous vendre, regardez la résister, il vient de l'acheter et elle se débat.
La fille résistais afin de ne pas suivre son nouveau propriétaire et lui infligea des coups de pied et de point, criant et pleurant sachant bien que celui si la violerai et qu'il la tuerais après, elle se débâtai autant qu'elle le pouvais puis plus rien son corps s'effondra au sol et d'un rire maléfique il regarda la foule avec la tête au bout de sa main, remis son épée dans son étui, pris son exclave et parti a travers la jungle, il venais tout juste de pénétrer dans la foule que les autres lui ont sauté dessus afin de le dépouiller de son bien . Comme des enragés ils le mitraillais de coups de pieds et de tout qui pouvais se trouver sur place jusqu'a se que la cervelle gicle et lui sorte par une fente du crâne.
L'un d'eu s'approcha de Lylâ et se mis a la pointer et il montrai de ses mains les chaleureuse forme de celle si, augmentant son enchère, les offres rebondissaient de tout par s'étais l'euphorie puis un calme subite se fut en quelques secondes, les regardes se sont tous tourné sur le prince qui approchais des esclaves, il les regarda tous passant devant et derrière scrutant leurs formes choisissant se qu'il aurais de mieux pour ses désir et se retourna, il regarda Lylâ et lui fit signe de s'avancer puis se tourna ver Xzolya et lui fit également signe de s'avancer . Voyant bien que ceux si n'exécute pas ses ordres il les prirent brusquement par les bras et parti avec les brasant frustrer de leur attitude.
-- Je t'aime maman crièrent t'elles tiré par le prince.
Mayounis pleurai en les regardant partir se voyant maintenant seul séparé de ses filles qui allais probablement subir le même sort que la malheureuse avant eux puis elles disparurent derrière une porte ouvert par le prince qui les amenai tout en haut d'un tourbillon d'escalier dans une confortable chambre ayant vue sur la cour et les trois autre tour.
--Serais t’il impolie de vous demander se que vous croyez faire de nous … dis Xzolia d’une voix bien timide.
--Profitez de la vue et reposez vous je reviens plu tard
-- vous nous devez des explications répondez donc avant de disparaître, notre mère est avec nous et vous venez de nous en séparer.
-- Je vous ais dis d’attendre ici dis t’il d’un air menaçant puis parti .
-- Qu’allons nous faire Lyla .
-- je sais pas trop Xzo ,mais regarde cette chambre il ne nous as pas apportez ici pour rien dis toi bien sa
-- viens voir ! ils sont tous la comme des affamés et maman es encor la je la vois mais elle a les main attachés je crois qu’elle vas retourner dans une charrette avec d’autre femmes. lançon un objet en leur direction nous devon faire quelque chose.
-- voyons Xzolia que voudrais tu lancer dans cette chambre il n’a pas grand-chose qui vas permettre de la libérer.
-- regardons Lyla, il as sur ment quelque choses. Puis elle se mis a chercher et fini par mettre la main sur quelque objet qui ne risquerais pas de blesser bien fort.
Elle s’élançais autant qu’elle pouvais afin de lancer se qu’il passais devant ses yeux, mais s’étais trop loin au bout de quelque dizaine de pieds se quelle lançait retombais au sol. En fait, la cour es beaucoup plus grande qu’elle en parait, toute fois elle parvient toute même a attirer s’ertin regard
Se qui fit l’effet explosive d’une bombe, une vague sonore infernale boster de brick, fracassant les murs qui encastrai les fenêtre des tours.
Ils étais tous d’échainés par le parfum des femmes qu’il se tenais devant eux et celui qui avais les moyen de payer pouvais s’acquérir d’une d’entre elle. Xzolia de sa tour se donna en spectacle alimentant la foule jusqu’a se que bagarre éclate, certain se battais a main nue et d’autre sortis leur armes fessant gicler mainte veine sanguinaire. Le chaos s’installa fortement a un point t’elle que l’apparition du prince fut inaperçu les garde du corps de celui si fit même entraîner dans la bataille laissant place au prince de se rendre au femmes qui retournais dans la charrette puis regarda Xzolia et les pointa unes après les autres jusqu’a se qu’il se mettre a faire ressortir c’elles dans la charrette, observant ainsi les trais changeant du visage puis mis la main a son sabre et le sortis regardant attentivement Xolia dans les yeux, le tronc pivotant et la bras longuement étiré vers l’arrière il attendais un signe . Elle étais térifié de voir sa mère être charcutez puis trahi sa peur en rehaussant les paupières lorsque Mayounis sorti de la charrette. Brusquement aussi tôt dans un fort élan descendit son bras tenant l’arme effleurant l’épaule tranchant ainsi la corde qui la tenais prisonnière aux autres.
Devant cette arme qui se brandissait sous ses yeux Mayounis c’élança les mains liées à travers les chemins qui s’ouvrais dans sa fuite.
Pus très jeune elle ne pue aller bien loin avant qu’il la rattrape au milieu du chaos causer par sa fille. Ces par le restant de corde qui lui liais les mains qu’il l’agrippa afin de retourner derrière ces mures plus tranquille. Auprès des charrettes les malheureuses qui si trouvais encore se voyais a être totalement malmené certain ne s’attardèrent pas a faire se qui les fessais baver. Les marchandeurs avais donc succombé sous le poids de ces barbares perdant ainsi leur butin, dans la mêlé les corps des plus faible s’étendais au sol tendis que les plus forts ressortais affrontant de nouveau un adversaire.
-- vois tu se que tu a provoquer Xzo regarde un peu la situation que tu as mis maman, on ces même plus ou elle est dans cette bataille, ils s’entre tus tous, comment veut tu que on l’aide maintenant elle est probablement morte si on la voie pas.
-- Ben non regarde, il la tien, et il est le prince alors elle ne craint rien il ne s’attaquerons pas a lui, remarque comment ils se tassent lorsqu’il approche.
-- Tu vois bien qu’ils s’attaque a tous eux devant eux, regarde le massacre as-tu déjà vue quelque chose de ce genre ils se connaissent tous et il se tue regarde.
-- Arrêt t’on de se chu canner et sortons d’ici, nous avons assez perdu de temps alors dépêchons.
La garde du château occupé par les événements se trouvait donc maintenant en alerte face à l’ampleur du désordre de la cours et monopolisa presque tous les gardes pour mettre fin a ce carnages
Cela donna la chance a Lylâ et Xzolia de s’échapper par la porte non barré puis descendis les marches qui menais a la sortis pour en trouver trois gardes qui se dresser face a une porte la tenant fermé avec des pièces de bois et armes a la main.
Par la petite fenêtre de la porte ils refusais l’entré au émeutier qui s’acharnais de l’autre coté en poussant sur celle-ci.
-- Lylâ attend, que se que l’on fais on pourras pas passer ils bloquent la porte.
-- devant eu, viens on as pas le choix.
Puis elles s’engagere dans le couloir passant devant eux impuissant résistant a l’ouverture de la porte, l’un d’entre eux voulus tendre le bras afin d’agripper une des deux puis se fut la catastrophe, la porte céda sous l’emprise du tiraillement et par dizaine ils entraient grimpant les marche a toute vitesse pour s’emparer des deux filles. Par chance le couloir se trouvais si prêt de la porte qu’ils n’on point vus se qui leur a permis de s’échapper dans l’entrailles du château .
-- ici, vite tournons a gauche.
-- ils sont a notre recherche ou allons nous ces couloir son bien long, il a des portes un peut partout et la qu’elle vas nous permettre de sortir
-- je ne sais pas Lylâ mais cachons nous au plus vite, tournons et essayons cet porte, haaaa … elle ne s’ouvre pas. Allons à l’autre avant qu’ils arrivent.
-- ici, Xzolia ces ouvert, prenons celle-ci.
-- je suis dépêche aller, ferme bien la porte en fin on vas sortir d’ici regarde.
-- oui je vois bien que nous somme sortis mais nous sommes du coté intérieur de la cour, essayons de sortir d’ici vivante, aller viens.
-- regarde ces maman, allons la rejoindre s’écria Xzolia.
-- non, elle est avec lui, tu peut rien faire, il nous crois toujours dans tour il vas vouloirs nous tuer si on se pointe devant.
-- j’en ai rien à foutre, il a même plus le control sur les siens, moi je vais la chercher.
Et elle se mit à courir en direction de Mayounis ne ce soutien de rien bien décidé à la libérer du prince. Face a la bataille celui si tentais de calmer sa meute mais certain commencèrent a lever le sabre, ils l’invitais a jouer son trône, le siége qu’il occupe dans cet hiérarchie, le perdant ne sera plus de se monde et le vainqueurs en remporterais la gloire des sien, il refusais les invitations mais ceux si les devançaient en chargeant dessus croisant les épées, tan bien que mal il résistais a ces nombreux adversaire les armes se fracassaient, rebondissant de partout autour de lui, il se défendais t’el qu’il avais pratiqué depuis son enfance, a déchirer l’opposant, lui infligeant ainsi une mort souffrante. Profitant de se moment Mayounis pris de nouveau la fuite, elle ne s’avais pas dans qu’elle direction prendre elle cherchais le chemin qui s’ouvrais par lui même. Le sang et les cadavres recouvraient le sol rendant la fuite difficile
-- Mayounis ! Mayounis ! Crie Xzolia.
Courant derrière la voyant disparaître à travers ce champ de bataille, elles se tenaient une a l’autres tentant de rattraper leur mère qui s’échappais. Le chemin qu’elles avaient parcouru au milieu de la foule s’était transformé en piège lorsque leur présence fut découvert, les plus vites cessa de se batte afin de se précipiter sur elles. Perdant leur combat en tournant le dos aux sens scrupules qui les poignardaient afin d’avoir leur morceau de chair. Maintenant prisent entouré de c’es bêtes qui ce déchaînais d’avantage en proclament leur nouveau chef. Les trois ce trouvais désormais réunis affrontant l’ennemis, elles nuent pas de chance devant ce groupe qui s’arrachais les femmes, bousculer d’un coté et de l’autres elles surveillais le bout des épées qui brandissais de toute par, certain tirais leur vêtement tendis que d’autres défendais leur bien. Prisonnière au centre du carnage elles voyais la tête du prince danser en l’aire se promenant ainsi au dessus de ceux qui l’avais abattus sachant bien que le même sort leurs étais réservé.
Puis sen prévenir les ailes gigantesques du ptérozore se déploya au dessus du château emmenant l’hombre terrifiant du carnivore qui se posa les pattes sur les nombreux cadavres, sectionnant de son immense bec quelques kaptors écartant ainsi la meute.
-- voulez vous voler mes dames. Lui dit karagan descendant de l’animal.
Armé il pointais son épées, la branlant en demie lune se gardant le dos protégé par son nouvelle ami.
-- montez vous ne risquez rien, je ne pourra pas les tenir longtemps faites vites.
-- je suis vraiment contente de te revoir lui dis Xzolia.
-- suivez jusque en haut et allez trouver Lucien. Répondis t’il entre des coups de fer se heurtant violemment il maniais son arme parfaitement chaque coup affectais terriblement son adversaire qui osait se mesurer a lui. A gauche ou par en dessous a droite ou même du dessus, il perforais toujours du premier coup ne donnant aucune chance de voir a la victime.
-- wow. Ces super. Crias t’il. Se défendant …affrontant l’armé qui ne battais pas en retraite. Dépêchez vous, et de trois ou quatre enjambés ils repris place derrière le cou du ptérozore afin de quitter cette forteresse qui a presque anéanti les Hylroys.
-- Esse celui qui a détruit notre maison demanda Mayounis.
-- Parfois on i peu rien tu sais, cette oiseau t’a sauvé la vie sens lui nous serions probablement tous mort en se moment. Répondis Lucien.
-- Tenez vous bien on va partir. Allez Sunchez partons. Avant qu'ils commencent à te grimper dessus.
chapitre 1.6
Les mains enserrées autour d'une poignée de poils, ils se tenèrent lorsque celui-ci s'éjecta. La puissance de ce géant arrachait presque la peau, la force G du décolage fit virevolter les cadavres sous ses pieds, quelques- uns avaient réussi à s'agripper sur le pterozore prenant son envol.
-- Tout va bien? demanda t'il fortement afin de se faire entendre dans le vent.
-- Comment as tu fais? s'exclama t'elle ainsi Xzolia.
-- J'avoue que je ne sais pas du tout mais disons que ça adonne bien.Jamais je n'aurais crût un jour commander un animal de cette taille, mais c'est plutôt plaisant même je dirais.
-- Accroche toi maman.Vous êtes arrivés au bon moment ,enchantée de vous rencontrer, moi je suis Lylâ et vous êtes? ..
-- A vrai dire je ne sais trop, dois-je dire Karagan ou Henrry?
-- Ici dans notre monde vous devez dire Karagan, laissez tomber ce Henrry, il n'est pas de ce monde, oubliez le,
vivez la vie de Karagan. dit le vieil homme.
-- Je crois, je devrais m'y faire... Attention !
Un des monstre qui c'était accroché, s'approcha, tenace, rampant sur le dos du ptérozores réussissant
presqu'à attraper Mayounis par derriere.
-- Écartez vous dis t'il .. tout en plogean sur le kaptor, il lui avais pris un bras et tuisté derriere le dos tel une clé de bras, l'autre main serrais la tête contre l'animal jusqua lui pénétrer les os cranien, le cracquement des os se fit ententre emplement dévoilant une force inconnue de celui qui la posede.
-- Vas cher le diables sale merde, s'exclama ainsi karagan, avant de le basculer par dessus bord.
-- Ha ! ha ! vous faite sa avec clase, l'ança Lylâ.
-- Bien joué dis a son tour Xzolia, ramené vos fesses ici avant de tomber.
-- Non sa ya pas de problême si je tombe, il viendras me chercher, regarde.
C'es la que Lucien crias non !, mais ça n'a pas été asser rapide pour l'empêcher de se l'ancer dans le vide.
-- Sunchez, vas le chercher ! s'exclama le viel homme.
Puis l'animal s'executa. sen prévenir il plongea vers le bas, d'éplasant les passager de leur confortable siege chutant lier a une poigneé de poils. Les mains de Mayounis laissa glisser entre ses doigts son paumos, lorsque l'air entre elle et le ptérozore la sépara, la main de Lylâ arrivas juste attend pour attraper c'elle de mayounis permettant a Xzolia d'en faire autent avec la deuxième main de Mayounis. Et subitement la position de dessente changea, l'oiseau avais plasser ses pieds devant modifiant la chute, il tentais d'aggripper karagan par les griffes mais se fut sen vêne puisqu'il étais trop bas la scime des arbres apparaissais et Sunchez n'a pût que rebrousser chemin affin de pas se blaisser. La dessente pris fin brutalment imprégniant contre son cuire les corps des Hylroys.
Les branches le fouettais de partout il venait de se fondre au coeur d'une foret épaisse fournie de bras rallentisant sa chute puis apparus son coussin, une rivière qui l'acceuillis amortisant sa dégringolade vers la mort . Lorsqu'il fenda l'eau celle si giclas presque pas.
-- Ouf waaaa ....!!!
-- Ouuuufff waaaaa ....!!! modine queseque jai faite la. dis t'il.
Très chanceux d'être tombé dans une riviere qui étais peut large et il fut toute même bénis d'avoir éter ralenti par les branches des arbes puisque celle si étais peut profonde, en nageant, il pouvais voir qu'il avais un fond bondée de gros rocher et qu'il aurais pue ce heurter. Dérivant par le faible courant, il fini par joindre la rive, ses muscle attendri et martellé lui fessai mal, il avais toute même réusi a sen sortir. Tramppé il s'asoya afin de reprendre son souffle. Sur le bord de la rive il contemplais le ciel revoyant sa chute comprenant vraiment la chance qu'il a eu . il se revoyais a essailler d'atteindre Sunchez dans le vide et concient du sol qui raproche. Juste a i penser la chaire de poule envloppa son être. Pétrifier il se trouvais paralysé de peur, le temp termina un moment, plus rien ne bougeais seul un long coridore étroite lui apparaisais et il se voyais tomber, et se revoyais tomber mainte et mainte fois jusqua croire puis toujours ce couloir qui menais plus haut, puis il se revoyais au près de la pierre tombale et tous défila, le couloir, lachute, la pierre, le couloir, la chute la pierre ... et sa déroulère ainsi chusqua en perde les pedales, doucement Nancy réaparu, elle arrivais calme et serène venant ainsi mémoriser de doux souvenir, il se revoyais tous les deux a partager leur activités dégustant de bon soupé arrosé de somptueux vin et sens dire des films et du reste.
-- Karagan ! elle disais en lui pousant la hanche a laide du pied droite.
-- Henrry relença doucement, Xzolia s'accroupi a ces côté et de nouveau elle chuchota son nom. Henrry, Henrry!
Puis enfin il se réveilla regardant Xzolia acrroupie a ces côté, étourdi il revenais a lui et la chaleur avais fais son oeuvre sa peau avait subit de nombreuse lacération et a différante endoit celle si ce trouver presque sècher par les rayons du soleil.
-- Bouge pas lui dis t'elle, je vais vérifier que ta rien de brissé, tu es bien chanceux tu sais, recommence jamais sa, tu pourra pas avoir de la chance a chaque fois.
Allongé au sol, il observa Xzolia sens dire un mot, voyan Nancy articulant doucement ses membres vérifiant ainsi chacun d'eux, il voyais pas de différance elles se trouvaient identique les visages et la chevelure, les yeux, le nez et même la bouche se trouve a être pareil.
-- Cela est facinant s'exclama t'il douloureusement .
-- Vous auriez pus vous tuer, il a rien de facinant la dedans répliqua t'elle.
-- Karagan n'est pas immortelle garçon. Tu devras aprendre a i faire un peu plus attention. dit a son tour Lucien. A l'avenire vérifi la hauteur. Maintenant, que tu est revenu, je crois que pour nous, qu' il sera inutile de retourner a nôtre demeure ou ce qu'il en reste, le temps est venu d'aller voir un viel ami.
Puis l'homme ressortie son drole de siflet et rapela ainsi Sunchez. L'animal aussito retonti, évocant une ombres sur le groupe, pieds dans l'eau et sur terre, il s'aprocha de très près a quelques centimètres leurs facilitant la tache. Cette énorme tête se balançais de gauche a droite pousant également quelques cris comme si il compatisais ou bien même si il s'avais qu'il étais sur le point de retourner ver le territoire qui la vue naitre la ou l'homme qui la élever celui qui la dresser afin de raporter l'attendu, soi toujours la a attende ce jours malgré ce long voyage.
Une fois tous bien confortablement installé ils repartirent en première classe du mastodonte, l'ètre d'une charpente imposante et effroyable s'élevas ainsi dans les aires filant sur le chemin du retour celui du maître.
mardi 9 décembre 2008
Libellés : chapitre 1
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